Faits saillants de l’actualité :
1. Dominique Boutonnat, président du CNC, accusé d’agression sexuelle par son filleul.
2. Le procès est prévu pour le 14 juin 2024.
3. Boutonnat conteste les faits, mais le jeune homme persiste.
4. Des gestes inappropriés auraient eu lieu en août 2020.
5. Le président du CNC évoque des “baisers consentis” seulement.
6. L’affaire a été portée à l’attention du Sénat par Judith Godrèche.
Le président du Centre national du cinéma (CNC), Dominique Boutonnat, sera jugé en juin pour agression sexuelle sur son filleul. Le parquet de Nanterre a confirmé cette information, datant du 6 mars dernier. L’actrice Judith Godrèche a également demandé le retrait de ses fonctions à M. Boutonnat devant le Sénat. Malgré les accusations portées contre lui, Dominique Boutonnat conteste vigoureusement les faits qui remontent à août 2020.
Selon la plainte consultée par l’Agence France-Presse (AFP), le filleul du président du CNC accuse son parrain d’avoir tenté des actes inappropriés après s’être baigné nu dans la piscine. Dominique Boutonnat, quant à lui, évoque des gestes d’affection consentis qu’il aurait interrompus lorsqu’il a senti que la situation aurait pu déraper.
Cette affaire a suscité de nombreuses réactions et controverses au sein du monde du cinéma français. Malgré tout, Dominique Boutonnat reste en poste jusqu’à son jugement prévu en juin 2024. Cette affaire met en lumière la question des violences sexuelles dans le milieu du cinéma et soulève des interrogations sur la responsabilité des personnalités publiques face à de telles accusations.
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