Faits saillants de l’actualité :
1. Des militants du collectif Golem mobilisés à Paris en 2023.
2. Johann Chapoutot confond le collectif Golem avec Tsedek lors d’un débat.
3. Golem et Tsedek luttent contre le racisme mais diffèrent d’opinions.
4. Les juifs de gauche déçus par la récente loi “immigration”.
5. Création de Golem pour défendre les juifs contre l’antisémitisme.
6. Simon rejoint Golem pour faire entendre une voix juive de gauche.
Le collectif Golem, formé pour lutter contre l’antisémitisme en France, a fait son apparition lors d’une manifestation contre l’antisémitisme à Paris. Ce mouvement, nommé d’après une créature de la mythologie juive, s’est illustré en tentant d’expulser les membres du Rassemblement national de l’événement. Cela a suscité l’enthousiasme de certains juifs de gauche, déçus par la réaction de leur camp politique face aux attaques du Hamas le 7 octobre.
Certains juifs de gauche se sont sentis abandonnés par leur famille politique et ont rejoint Golem pour faire entendre une voix juive de gauche. Ce collectif vise à défendre les juifs contre l’antisémitisme et à lutter contre toutes les formes de racisme. Pour certains militants comme Simon, c’était une réaction nécessaire et attendue depuis longtemps.
La manifestation contre l’antisémitisme a rassemblé plus de 182 000 personnes, mais l’absence de certains partis politiques de gauche a été ressentie douloureusement par certains participants. La présence de l’extrême droite a également été critiquée. Pour des militants comme Simon, rejoindre Golem était une manière de trouver enfin un espace où faire entendre leurs préoccupations et de s’engager activement contre l’antisémitisme.
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