Faits saillants de l’actualité :
1. Fabrice Riceputi expose l’implication de Jean-Marie Le Pen dans la torture en Algérie.
2. Le Pen a justifié la torture comme moyen nécessaire d’efficacité.
3. Malgré les démentis, des révélations sur la torture s’accumulent.
4. Certains faits sont amnistiés et prescrits, protégeant Jean-Marie Le Pen.
5. Le Pen attaque ceux qui le mettent en cause, mais est condamné.
6. Des journalistes comme Michel Polac sont également condamnés en justice.
Le livre de Fabrice Riceputi, “Le Pen et la torture. Alger 1957, l’histoire contre l’oubli”, met en lumière le rôle du lieutenant Le Pen dans la torture pendant la guerre d’Algérie. Jean-Marie Le Pen a lui-même admis avoir torturé des prisonniers au nom de l’efficacité. Malgré des démentis ultérieurs, des témoignages de victimes ont confirmé les actes de torture commis par Le Pen.
Malgré les poursuites en diffamation et les démentis, des preuves accablantes ont été révélées, notamment un poignard retrouvé portant la mention “JM Le Pen 1er REP”. Le leader du Front national a opté pour la stratégie de nier les faits pour échapper aux conséquences légales, étant donné que les actions de torture étaient amnistiées et prescrites.
Les médias ont également été impliqués dans cette affaire, avec des condamnations en appel pour diffamation. Jean-Marie Le Pen a réussi à se disculper en arguant qu’il n’avait jamais personnellement pratiqué la torture. Ces révélations ont toutefois jeté une lumière crue sur les agissements du lieutenant Le Pen pendant la guerre d’Algérie, montrant l’impunité dont il a bénéficié malgré des preuves accablantes.
#LePen #torture #Algérie #guerred’Algérie #FabriceRiceputi #LeMonde #JeanMarieLePen #FrontNational #LouisMarieHoreau #Canardenchaîné #Libération #LouisDuroy #JoëlleStolz #MohamedMoulay #amnistie #prescription #Massu #Aussaresses #Mémoires #MichelPolac #JeanMauriceDemarquet #parachutiste #journalisme #censure #procès
