Faits saillants de l’actualité :
1. Festival de black metal néonazi interdit en Auvergne-Rhône-Alpes samedi.
2. Gendarmerie effectue des contrôles autour du village malgré l’interdiction.
3. Risques d’emprisonnement et amendes pour les organisateurs et participants.
4. Lieu loué sans autorisation pour le concert interdit à Vézeronce-Curtin.
5. Cinq points de contrôle mis en place par la gendarmerie.
6. Tête d’affiche du festival: groupe polonais Graveland, glorifiant le Troisième Reich.
7. Événement interdit dans cinq départements, dont l’Isère, pour idéologie néonazie.
Un festival de black metal néonazi a été interdit dans cinq départements de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Malgré les directives des autorités, l’événement a été organisé le samedi 24 février dans un village d’Isère. La gendarmerie a déployé des contrôles systématiques autour du village, mais l’organisateur a refusé d’annuler l’événement, qui s’est tenu le jour anniversaire de la création du parti national-socialiste d’Adolf Hitler.
Les organisateurs risquent jusqu’à six mois de prison et 7 500 euros d’amende, tandis que les participants peuvent recevoir une contravention. Le concert interdit s’est tenu à Vézeronce-Curtin dans une salle louée à un particulier sans l’approbation de la commune. Malgré l’interdiction, l’organisateur a refusé de se conformer à l’arrêté de la gendarmerie.
Cinq points de contrôle ont été établis par la gendarmerie pour empêcher l’accès à la commune de 2 000 habitants, située à moins d’une heure de Lyon. Le festival, qui mettait en avant des groupes glorifiant le Troisième Reich, a été interdit dans cinq départements en raison de son caractère néonazi. Cette décision visait à prévenir tout trouble à l’ordre public.
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