Valérie Gouzien, propriétaire d’un refuge à Perriers-en-Beauficel, s’est rendue récemment à la fourrière de Vire Normandie, et a été choquée par ce qu’elle y a vu. Elle dénonce une gestion rétrograde des animaux errants, notamment des chats, qui sont enfermés dans des cages comme les chiens, malgré les réglementations en vigueur.
Selon Valérie Gouzien, les chats devraient être accueillis dans un logement étanche, isolé thermiquement, adapté à leur taille, et équipé d’une aire de couchage sèche et isolée du sol. Elle souligne également l’importance de l’espace minimal requis pour l’hébergement des chats, qui est de 2 m² par chat, abrité des intempéries et du soleil.
La militante pour le bien-être animal propose une réorganisation du service public de la fourrière, en construisant à côté un refuge pour permettre aux animaux non réclamés par leur propriétaire d’être proposés à l’adoption. Elle insiste sur la nécessité d’évoluer dans ce domaine, tout comme on l’a fait pour la gestion des déchets, et se dit prête à donner des conseils et à aider à trouver des solutions en mobilisant des fonds européens.
Valérie Gouzien appelle à une prise de conscience collective pour construire un monde meilleur pour les animaux, et invite les collectivités à agir en faveur du bien-être animal. Elle souhaite voir une meilleure prise en charge des animaux errants et une amélioration des conditions de vie des pensionnaires des fourrières.
Résumé complet de l’actualité ci-dessous :
– Valérie Gouzien déplore une gestion rétrograde des animaux errants à la fourrière de Vire Normandie.
– Elle souligne un défaut de la mairie qui n’a pas confié la gestion de la fourrière à l’Intercom de la Vire au Noireau.
– Les chats sont enfermés dans des cages alors que la réglementation exige un logement adapté et isolé thermiquement.
– Valérie Gouzien propose de construire un refuge à côté de la fourrière pour permettre aux animaux non réclamés d’être proposés à l’adoption.
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