Faits saillants de l’actualité :
1. Le comité olympique russe reste suspendu du mouvement olympique.
2. Le Tribunal arbitral du sport rejette l’appel contre la suspension.
3. La décision du CIO vise à sanctionner le placement sous l’autorité.
4. La décision est « définitive et contraignante » et peut faire l’objet d’un appel dans un délai de 30 jours.
5. La décision a priver le ROC des financements olympiques.
6. Elle n’a aucune conséquence sur la présence d’athlètes russes et biélorusses.
7. Les athlètes peuvent tout de même participer aux JO 2024.
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a confirmé la suspension du comité olympique russe (ROC) décidée mi-octobre par le Comité international olympique (CIO). Cette décision a été rendue publique le vendredi 23 février par l’institution compétente en matière de litiges sportifs.
La sanction contre le ROC a été prise par le CIO en réponse au placement sous l’autorité de quatre organisations sportives de régions ukrainiennes occupées. Le TAS a précisé que sa décision est définitive et contraignante, mais qu’elle peut faire l’objet d’un appel devant le Tribunal fédéral suisse dans un délai de trente jours.
Cette mesure a été prise par le CIO à la suite de la décision unilatérale du ROC d’annexer les organisations sportives des régions de Donetsk, Kherson, Louhansk et Zaporijjia, situées dans l’est de l’Ukraine et occupées par l’armée russe. Le CIO a considéré cette initiative comme une violation de l’intégrité territoriale du comité national olympique ukrainien, contrairement à la Charte olympique.
Cette suspension prive le ROC des financements olympiques et n’affecte pas la participation des athlètes russes et biélorusses aux JO 2024 de Paris, sous bannière neutre. Cette décision du CIO a soulevé diverses questions, mais elle reste irrévocable malgré les contestations du ROC.
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