Faits saillants de l’actualité :

1. Rencontre entre les premiers ministres ukrainien et japonais à Tokyo.
2. Le Japon soutient l’Ukraine à travers des partenariats économiques.
3. Une enveloppe de 15,8 milliards de yens pour l’Ukraine.
4. La Banque mondiale estime la reconstruction de l’Ukraine à 452,8 milliards d’euros.
5. Le Japon souhaite le développement économique complet de l’Ukraine.
6. Le Japon a fourni du matériel militaire non létal à l’Ukraine.
7. Le Japon a accueilli des réfugiés ukrainiens en assouplissant les règles.
8. Le Japon a fourni 11,2 milliards d’euros d’aides à l’Ukraine.

Le premier ministre ukrainien Denys Chmyhal a rencontré son homologue japonais Fumio Kishida dans le cadre de la Conférence Japon-Ukraine à Tokyo, le 19 février 2024. Alors que le Congrès américain se déchire sur un nouveau plan de soutien à l’Ukraine et que l’inquiétude plane sur l’appui occidental fourni à Kiev deux ans après le déclenchement de l’invasion russe, le Japon mobilise ses entreprises. Ses règles lui interdisent l’exportation de matériel de guerre létal, mais pas le soutien économique.

Cinquante-six documents ont été signés les 20 et 21 février, en marge de la Conférence de promotion de la croissance économique et de reconstruction de l’Ukraine, une réunion bilatérale organisée par Tokyo au siège du Keidanren, la puissante organisation patronale nippone. Les mesures annoncées incluent un assouplissement des visas pour les ressortissants ukrainiens, l’ouverture à Kiev d’une antenne de l’Organisation du commerce extérieur (JETRO) et une enveloppe de 15,8 milliards de yens (98 millions d’euros) pour l’aide au déminage et aux secteurs de l’énergie et des transports.

La reconstruction de l’Ukraine, estimée par la Banque mondiale à 452,8 milliards d’euros sur dix ans, attire. La contribution japonaise “n’est pas seulement un investissement pour l’avenir de l’Ukraine, mais aussi un investissement pour le Japon et le monde entier”, a souligné le premier ministre, Fumio Kishida, qui s’exprimait devant un parterre de représentants des secteurs public et privé. M. Kishida souhaite voir l’Ukraine “parvenir à un développement économique complet, du secteur primaire au secteur tertiaire, dans l’agriculture, l’industrie manufacturière ou encore les technologies de l’information”.

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