Faits saillants de l’actualité :
1. Le chef du SNP a été critiqué pour ses actions.
2. Des débats ont eu lieu à la Chambre des communes.
3. Des demandes de démission du président de la Chambre des communes
4. Le SNP proposait un cessez-le-feu immédiat, tandis que le Labour proposait une pause humanitaire.
5. De nombreuses critiques ont été faites à l’égard du président des communes.
6. Le gouvernement conservateur a finalement retiré son amendement.
7. Les manifestants palestiniens ont été soutenus par de nombreux députés.
8. De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer cet événement à Westminster.
9. Les députés critiquent le psychodrame au lieu de la crise au Proche-Orient.
10. Des milliers de manifestants soutiennent les Palestiniens.
La Chambre des communes britannique a été le théâtre de débats tumultueux et de scènes chaotiques le mercredi 21 février à l’occasion du vote d’une motion appelant à un cessez-le-feu à Gaza, ce qui a considérablement affaibli la position du speaker, Lindsay Hoyle.
Le président de la Chambre des communes a été vivement critiqué et a fait l’objet d’appels à la démission après avoir permis à l’opposition travailliste, contrairement aux usages, de déposer un amendement sur une motion d’une autre formation d’opposition, le Scottish National Party (SNP, le parti indépendantiste écossais), lors d’une séance censée lui être dédiée.
La motion du SNP appelait à un « cessez-le-feu immédiat » et exigeait la fin de la punition collective contre le peuple palestinien, tandis qu’un amendement du parti travailliste appelait à un “cessez-le-feu humanitaire immédiat” et à un processus diplomatique pour parvenir à une solution à deux États et à une paix durable.
L’amendement du Labour a finalement été adopté sans vote formel, dans des conditions contestées. Le chef de file du SNP à Westminster, Stephen Flynn, a dénoncé le « mépris » dont son parti avait fait l’objet, tandis que des appels à la démission ont retenti des deux côtés de la Chambre des communes à l’adresse du speaker, Lindsay Hoyle.
La situation a suscité de vives réactions parmi les députés, qui ont regretté que l’affaire ait tourné au psychodrame à Westminster plutôt que de se consacrer à la crise au Proche-Orient, alors que plusieurs milliers de personnes soutenant les Palestiniens manifestaient aux abords du Parlement pour demander un cessez-le-feu à Gaza.
En définitive, cet incident a marqué un moment de division et de tension au sein du Parlement britannique.
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