Faits saillants de l’actualité :
1. Bombardements israéliens et combats avec le Hamas à Gaza.
2. La guerre a fait des milliers de morts à Gaza.
3. Directeur de l’OMS déclare la situation à Gaza “inhumaine”.
4. Aide humanitaire insuffisante à Gaza.
5. Chef du Hamas revoit la trêve avec les pays médiateurs.
6. Washington défend Israël devant la CIJ sur l’occupation des territoires.
Un cimetière de Rafah, le 21 février 2024. Les femmes palestiniennes pleurent la perte de leurs proches suite aux attaques israéliennes qui ont eu lieu plus tôt dans la nuit.
Les attaques israéliennes et les combats entre l’armée et le Hamas continuent sans relâche à travers le territoire palestinien, selon le ministère de la santé du Hamas, 118 personnes ont été tuées en vingt-quatre heures. Le Programme alimentaire mondial (PAM) a qualifié la situation de « chaos et à la violence » dans le nord de la région, ce qui a amené à la suspension de la distribution de l’aide dans ce secteur.
Selon des témoins, des combats ont eu lieu à Khan Younès et dans d’autres zones de la bande de Gaza. L’armée israélienne a revendiqué la mort « de dizaines de terroristes » à Zaytoun, ainsi que la destruction de « des dizaines de cibles ». Par ailleurs, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que la situation à Gaza était « inhumaine » et que Gaza était devenue une zone de mort.
La guerre a fait plus de 29 313 morts à Gaza et plus de 1 160 morts côté israélien. Il est ajouté que la population palestinienne est menacée de famine à cause du siège imposé par Israël depuis le début de la guerre.
Les discussions en vue d’une trêve se poursuivent, notamment avec la visite du chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, au Caire. Il est prévu que le premier pas de ce plan soit la libération des otages et l’entrée d’une quantité importante d’aide humanitaire à Gaza.
La Cour internationale de justice (CIJ) tient également des audiences sur les conséquences juridiques de l’occupation par Israël de territoires palestiniens. Cependant, Washington a pris la défense de son allié.
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