Faits saillants de l’actualité :

1. Khalifa Sall est candidat à l’élection présidentielle au Sénégal.
2. Quinze candidats accusent le président Macky Sall de mauvaise volonté.
3. Ils veulent que la date de l’élection soit fixée rapidement.
4. Le Sénégal traverse une crise politique inédite.
5. Le Conseil constitutionnel a demandé aux autorités d’organiser l’élection rapidement.
6. Le président Macky Sall a dit son intention de respecter la décision du Conseil constitutionnel.
7. Les Sénégalais attendent de connaître la nouvelle date de l’élection.
8. La mobilisation de plusieurs milliers de personnes a créé une onde de choc.
9. Des partenaires internationaux du Sénégal ont exprimé leur inquiétude.
10. Le pays reste en proie à une vive querelle sur la tenue de la présidentielle.

Quinze candidats à la présidentielle au Sénégal accusent le chef de l’État, Macky Sall, de « mauvaise volonté » et ont annoncé des actions pour que la date de l’élection puisse être fixée rapidement. Le collectif citoyen Aar Sunu Election (“protégeons notre élection”) a également annoncé un nouveau rassemblement samedi. Le collectif exige que le scrutin ait lieu avant le 2 avril, date de fin officielle du mandat de Macky Sall. Selon ses projections, l’élection, initialement prévue le 25 février, doit avoir lieu au plus tard le 3 mars.

Une lenteur inexplicable a été constatée. Rien n’a été entrepris malgré les développements de la semaine passée, disent les quinze candidats dans un communiqué commun publié mardi 20 février au soir : “Tout fonctionne au rythme de la mauvaise volonté du président Macky Sall.” Ces quinze candidats font partie des 19 candidats homologués pour la présidentielle, d’après une liste actualisée publiée mardi par le Conseil constitutionnel.

Le Sénégal traverse une crise politique inédite après la décision de Macky Sall et de l’Assemblée nationale de reporter la présidentielle. Ce report, dénoncé comme un “coup d’État constitutionnel” par l’opposition, a provoqué des manifestations qui ont fait trois morts.

Des partenaires internationaux du Sénégal ont exprimé leur inquiétude devant la situation. L’engagement du président à faire appliquer “entièrement” la décision du Conseil constitutionnel, ainsi que différents gestes comme la libération provisoire de centaines de détenus, ont créé un apaisement fragile. Mais le pays reste en proie à une vive querelle sur la tenue de la présidentielle avant ou après le 2 avril et sur une reprise à zéro, ou non, du processus d’homologation des candidatures.

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