Faits saillants de l’actualité :
1. Prise de distance, mais pas abandon d’Israël par le président Biden.
2. 29 000 morts dans la bande de Gaza, majoritairement des civils.
3. Les Etats-Unis bloquent par leur veto un projet de résolution.
4. Le soutien à l’Etat hébreu n’est pas remis en question.
5. Le porte-parol du Conseil de sécurité nationale explique leur choix.
6. Un cessez-le-feu temporaire à Gaza en échange d’une libération.
7. Contacts diplomatiques en cours visant à arracher un cessez-le-feu.
8. Une offensive militaire d’Israël dans la région de Rafah.
9. Maison Blanche renouvelle son opposition à une telle offensive.
10. Projet américain appelle aussi à un cessez-le-feu temporaire à Gaza.
L’administration Biden a été confrontée à une situation délicate, essayant de maintenir son soutien à Israël tout en prenant ses distances après la perte de vies humaines à Gaza. Malgré un isolement diplomatique évident, les États-Unis ont bloqué une résolution proposée par l’ONU pour un cessez-le-feu humanitaire immédiat à Gaza. Cela a conduit à des négociations sensibles pour un cessez-le-feu temporaire et la libération des otages détenus par le Hamas.
Les États-Unis ont envoyé des émissaires au Moyen-Orient pour discuter avec des responsables égyptiens et israéliens afin de tenter d’arracher un accord de cessez-le-feu. Ils ont exprimé leur opposition à une éventuelle offensive militaire israélienne dans la région de Rafah, soulignant qu’une telle action serait un désastre sans un plan crédible pour les réfugiés palestiniens dans la région.
L’administration Biden a également présenté un projet de résolution concurrent à celui proposé par l’Algérie pour un cessez-le-feu temporaire à Gaza, montrant ainsi sa volonté de ne pas paraître seule et butée dans ce conflit. Ce projet rappelle également à Israël les limites à ne pas dépasser et rejette toute action visant à réduire le territoire de Gaza.
La Maison Blanche semble désireuse de trouver un équilibre délicat entre maintenir son soutien à Israël et faire avancer une solution pacifique au conflit à Gaza. Il reste à voir si leurs actions diplomatiques conduiront à un résultat positif dans cette situation complexe.
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