Faits saillants de l’actualité :
1. Alléger le fardeau des contribuables européens en cas d’arrêt de l’aide américaine.
2. Olena Halushka et Leonid Litra appellent à la confiscation d’actifs.
3. La Banque de Russie est concernée par cette proposition.
Afin d’alléger le fardeau des contribuables européens, Olena Halushka, cofondatrice de l’International Center for Ukrainian Victory, et Leonid Litra, chercheur au New Europe Center, à Kiev, ont proposé une solution radicale : la confiscation des actifs de la Banque de Russie.
Selon eux, cette mesure est nécessaire afin de pallier à l’éventualité d’une interruption de l’aide américaine. En effet, ils estiment que cette démarche permettrait de compenser les pertes potentielles et de soulager le fardeau financier des contribuables européens.
Pour appuyer leur proposition, ils mettent en avant le soutien apporté par la Russie aux séparatistes en Ukraine, ainsi que son implication dans d’autres conflits internationaux. Ils considèrent donc que la confiscation des actifs de la Banque de Russie serait une réponse appropriée à ces actions.
Toutefois, une telle mesure soulève des questions quant à sa légalité et à son impact potentiel sur les relations internationales. Il est essentiel de prendre en compte les conséquences diplomatiques et économiques d’une telle action.
Halushka et Litra ont souligné que cette proposition était une solution de dernier recours, mais qu’elle méritait d’être étudiée sérieusement compte tenu du contexte géopolitique actuel.
En conclusion, la confiscation des actifs de la Banque de Russie proposée par Olena Halushka et Leonid Litra suscite une réflexion sur la manière de faire face à une éventuelle interruption de l’aide américaine. Bien que radicale, cette proposition soulève des questions importantes et mérite d’être examinée de manière approfondie.
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