Faits saillants de l’actualité :

1. Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF, annonce des mesures.
2. Prime de 400 euros à l’ensemble du personnel dès mars.
3. Opération pour désamorcer la colère syndicale et éviter les conflits.
4. Primes additionnelles versées à tout le personnel pour de bons résultats.
5. Revalorisation des indemnités de résidence, promotions et recrutements prévus.
6. Augmentation de 17 % à 21 % de la rémunération moyenne des cheminots.
7. Annonce des mesures avant la publication des comptes annuels.
8. Pour la période de février, les tensions sociales menacent d’escalade.
9. Décision d’étendre la main pour surmonter des difficultés.
10. Syndicats veulent plus rapide implémentation de l’accord négocié.

Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF, a annoncé une série de mesures pour apaiser la colère syndicale et éviter les préavis de grève déposés pour le week-end du 16 au 18 février, une période de départ en vacances. Une prime exceptionnelle de 400 euros sera versée à l’ensemble du personnel à partir du 1er mars, en plus d’un autre versement de 400 euros intervenu en décembre dernier. Ces primes sont justifiées par les “bons résultats” engrangés par l’entreprise en 2023.

D’autres mesures ont été annoncées, dont une revalorisation des indemnités de résidence, des promotions supplémentaires et le recrutement de 1000 cheminots en CDI en plus des 7300 recrutements déjà prévus pour l’année en cours. Jean-Pierre Farandou a souligné que la rémunération moyenne des cheminots a progressé de 17% au cours des trois dernières années, avec des augmentations allant jusqu’à 21% pour les salariés de bas de l’échelle, comparé à une inflation de 13,2%.

Cette annonce vise à éviter une nouvelle escalade du climat social à la SNCF, après une grève marquée durant le week-end de Noël 2022, qui avait bloqué près de 200 000 voyageurs. Les syndicats reprochent à la direction de ne pas déployer assez rapidement le contenu de l’accord négocié fin 2022, ce qui a conduit à une montée de la pression. La direction et les salariés s’étaient entendus sur les rémunérations, les embauches ainsi que l’ouverture de discussions sur la pénibilité à la suite d’un conflit animé par des contrôleurs mécontents.

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